L'amour du Cambodge...

Le texte en lien ci-dessous intitulé « Chronique : Phnom Chisor, de terre et d’eau » d’Emmanuel Pezard m’a beaucoup touché. À sa lecture je me suis dit qu’il était le fait d’un vrai amoureux du Cambodge… et j’en suis un aussi.

Ce qui me semble caractéristique de ceux qui aiment profondément le Cambodge, pour qui ce pays résonne au plus profond d’eux-mêmes, est que les lieux aussi débordent d’amour. Il ne s’agit pas d’un amour les lieux mais plutôt d’un amour des gens transcendé par les lieux.

La beauté ressentie lors de la visite du Phnom Chisor, résonne avec le bonheur de partager la vie des Cambodgiens, si attachants, mystérieux, insaisissables…

Les lieux disent quelque chose du cœur des gens. C’est très vrai de ce temple partiellement en ruine et qui conserve cet aspect sacré, debout malgré tout, digne malgré les difficultés, beau et mystique ne laissant rein paraitre de ces souffrances…

Quelle joie de vivre ici, avec ces gens incroyables…

Pour celui qui regarde avec les yeux l’âme, ces lieux magiques et époustouflants de beauté permettent d’entrevoir le cœur des gens… Merci, c’est là que se trouve le trésor le plus précieux du Cambodge.

Chronique : Phnom Chisor, de terre et d'eau

" Il faut faire le bien tant que l'œsophage est à la verticale... " (Proverbe cambodgien) Je le retrouve, cet arbre fou, immense, ombrageux... À soixante-dix kilomètres à vol d'oiseau, en face de moi, se détachent les verticalités des tours de Phnom Penh. Il y a douze ans, du même endroit, on ne voyait pas la ville.

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